L’école de la rue qui monte T1 et 2: La plus belle des toiles – Ce week-end c’est lapin!

A partir de 7 ans. Cette petite série de romans qui s’adresse aux lecteurs débutants, prend pour cadre la joyeuse classe de primaire de Mademoiselle Ana Malaga. Leur école s’appelle « l’école de la rue qui monte ». Étrange, puisqu’on ne peut que la descendre en voiture. A chaque tome, c’est une nouvelle aventure, centrée autour d’un des élèves. La richesse des histoires va donc résider dans la diversité des élèves de cette classe. La collection en est à son 4e tome, voici les 2 premiers:

Tome 1, Le plus belle des toiles:
La classe est de sortie (un peu mouvementée) au musée des Beaux-Arts, lorsque le petit Enzo remarque un portait peint qui ressemble comme deux gouttes d’eau à la maman de Camille. En plus jeune. Le titre trahit son identité: c’est bien elle! Même Camille ignorait que sa maman avait posé pour un peintre. Etait-ce son amoureux? Est-ce que son papa est au courant? Heureusement, la très bonne amie de la maman de Camille accompagne la sortie scolaire, ce jour-là, et a toutes les explications sur ce mystérieux secret.

Tome 2, Ce week-end, c’est lapin!: 
Ce week-end, c’est Colin qui a la responsabilité de s’occuper de Kiki d’Amour, le mignon petit lapin de la classe. Pas de problème, sauf que ces dernières semaines, cette tâche s’est transformée en véritable concours photo: Kiki qui fait de la balançoire, Kiki qui bronze sur la bouée au milieu de la piscine, Kiki qui goûte au gâteau d’anniversaire de Paola etc… Qu’est-ce que Colin va bien pouvoir trouver pour épater le copains? C’est lorsque son grand frère accepte de l’aider que Kiki décide de s’échapper, en pleine visite au parc… Dans sa course folle, il termine dans un centre commercial. Rien de bien original pour la photo tant attendue de Colin. Mais, là, l’impossible se produit…

Notre avis : Une série amusante, d’autant que le personnage principal change à chaque fois, tout en gardant le même groupe-classe. L’auteur, Hubert Ben Kemoun, dont on a déjà parlé ici dans C’est Noël, c’est cadeau, a su trouver le bon ton pour les enfants de 6 à 8 ans. Divisée en chapitre pour mieux encourager la progression, et largement illustrée, la lecture est facile, aérée et légère, d’autant que les situations plutôt comiques, parlent évidemment aux petits lecteurs.