A partir de 2 ans • C’est la veille de Noël et, au moment de partir, le Père Noël s’aperçoit que ses bottes sont trouées. Ni une ni deux, les lutins lui en fabriquent de nouvelles mais tels de petits Q dans James Bond, ils ajoutent quelques gadgets top secrets: les bottes sont livrées avec une canne magique qui, en cas de tracas, solutionnera le soucis dès qu’on prononce la formule magique associée: « superextrapowercan ». Perplexe, le Père Noël part faire sa tournée avec ses nouvelles et étranges bottes aux pieds. Il ne va pas tarder à avoir l’occasion de tester ses fameuses bottes magiques…
Un livre interactif et un Père Noël ultra-moderne
Le concept est simple et un peu magique: 3 zones de capteurs qui déclenchent chacun un son quand on y appose la canne du Père Noël que l’on trouvera dans la couverture du livre. Ces sons illustrent les scènes de l’histoire et rythment la narration, comme de petits gimmicks. De même pour cette petite formule magique, « superextrapowercan », prononcée presque à chaque page et que les enfants retiennent avec une facilité déconcertante (mieux que moi en tout cas). Ca nous rappelle beaucoup le « supercaliflawjalisticexpialadoshus » de Mary Poppins!
Les textes sont composés comme une petite comptine, avec un bon sens du rythme et des rimes en pagaille. L’ensemble est une vraie réussite, d’un point de vue de la musicalité du texte et des bruitages: les enfants accrochent vraiment bien.
L’histoire en elle-même et simple et classique mais traitée de manière si dynamique et interactive que ça fonctionne forcément mieux: le Père Noël part faire sa tournée et rencontre quelques difficultés. L’enfant est invité à l’aider en plaçant lui-même la canne et en prononçant la formule magique qui sauve à chaque fois la situation. C’est un autre style de livre sonore!
Note pratique: il faut poser la partie centrale de la canne à plat sur les emplacements et surtout ne pas oublier d’allumer le livre grâce au bouton au dos.
Qui a testé?
La cousine I. à 4 ans. Elle était surexitée en comprenant que c’était elle qui « commandait » les sons de l’histoire.